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karto di cromo

Artiste pop-rap, Paris

Kairos Cartel / Modulor

Karto di Cromo © Pierre Morel

KARTO DI CROMO : QUI ES-TU ?

Bricoleur musical et touche à tout depuis l’enfance, ayant pour modèle un oncle musicien fan de synthétiseur et pour passion les rythmes synthétiques et les percussions, Karto di Cromo se plaît à allier les genres musicaux et les arts dans sa propre musiqueLe cinéma, la poésie, la danse et l’art contemporain inspirent ainsi l’artiste, tout comme ses voyages.

C’est au Brésil, en Afrique et aux Etats-Unis qu’il découvre et s’imprègne d’influences funk, hip-hop, blues, house, jazz, samba, et baile-funk… un cocktail de sonorités qui fait vivre ses chansons, rythmées par la répétition et ponctuées de percussions vocales propres notamment au rap et au beatbox. Sa musique évoluera davantage avec sa rencontre en 2020 de ses deux musiciens, le bassiste Matthieu Sineau et le saxophoniste Antonio Tritta puis en 2022 avec le pianiste de jazz Nicolas Fabre.

Avant de créer sous le nom de Karto di Cromo, Florent Souvignet s’expérimente dans divers projets musicaux et artistiques : la performance de rue de l’homme-orchestre, concept mêlant orchestre, rap et beatbox, le groupe de jazz manouche Les Mains Bleues, ou encore Cromatic Electricduo avec Alexis B. qui fusionne des sons urbains avec des influences plus traditionnelles, par l’usage de la vielle à roue électrique. L’artiste développe aussi son écriture via des chroniques qu’il publie sur son blog Mediapart.

Il travaille également en 2020 avec des artistes plasticien.ne.s contemporain.e.s dans la réalisation d’une future exposition, De l’enfermement et des manières d’y échapper, qui évoque les questions de l’enfermement.

Le milieu carcéral intéressant grandement Karto di Cromo, il se lance la même année dans une une série de six EPs ayant pour thème l’enfermement : c’est ainsi que l’EP Libération conditionnelle paraît, suivi de Tentatives d’évasion en 2021, et bientôt d’Assignation à résidence (2024).

En annexe de cette série d’EPs, Karto di Cromo annonce cette année la sortie de son premier album Fantômes 2.0, sorti le 25 avril 2025. L’album aborde les sujets actuels des relations humaines et de l’existence à l’ère du numérique, non sans un certain humour, émotion et réflexion.


Cover de l’album Fantômes 2.0
de Karto di Cromo © Pierre Morel

FANTÔMES 2.0 : UN ALBUM À LA FRONTIÈRE DU RÉEL ET DU VIRTUEL

Fantômes 2.0 aborde les thèmes de la fatigue et de la dépendance numérique, explorant la frontière entre vie réelle et virtuel. L’album nous questionne sur notre propre existence en lien avec le numérique : quel est l’impact du virtuel sur nos relations humaines (Ghoster), notre vie (Droit à l’Oubli) ? Que reste-t-il de nous sur Internet après notre mort (Fantôme 2.0) ?

Au-delà de ce thème, certes marqué par le titre de l’album mais pas non plus central, Karto di Cromo nous expose ses réflexions sur des sujets plus globaux (le FOMO et le sens de la vie dans Faut qu’t’en chie! et Quel Fantôme seras-tu ?les inégalités sociales dans Les gosses à capuche, la dépendance sentimentale dans Des larmes plein la parka, la rupture amoureuse avec On se souvient / On s’oublie, ou encore les émotions à vif dans les haïkus fantômatiques et Le Pourtour de nos mots…).

Le disque est marqué par l’hybridité et l’exploration des frontières entre les genres musicaux.

On danse sur des sonorités électro-funk, on rencontre des effusions rock et trap plus frontales et on plane sur des mélodies pop, jazz et folk
Un mélange de genres unique et personnel qui est le fruit de ses multiples rencontres, et d’une volonté artistique résolument tournée vers l’ouverture et le décloisonnement.

La musique de Karto di Cromo joue sur plusieurs tableaux : ses chansons sont marquées par un soin particulier apporté à l’écriture (Quel Fantôme seras-tu ?, Fantôme 2.0, Data Center de l’Eternel), le cinéma (les mises en scènes des clips, notamment Droit à l’Oubli signé Rémy Barbe), un brin d’humour, presque satirique (Ghoster, Des larmes plein la parka), et un certain engagement (Faut qu’t’en chie!, Comme un fantôme, Les Gosses à capuche).

Les musiques traditionnelles et acoustiques (On se souvient, les haïkus fantômatiques) comme les sonorités plus incisives et synthétiques façonnent son travail, où l’on identifie l’influence de Soviet Suprem et de Stupeflip dans ce côté rap débridé et hybride, de Yelle et Philippe Katerine pour l’humour et la légèreté, de Jeanne Added avec son essence dark pop ou encore de l’hyper pop de Charlie XCX et de la regrettée Sophie.

L’album est disponible à l’écoute depuis le 25 avril dernier, avec l’aide du label de distribution Modulor et de Kaïros Records !


Cover Ghoster
© Florent Souvignet

GHOSTER : UN PORTRAIT PARODIQUE

Ghoster est une chanson d’afro-trap à la sauce marseillaise qui pourrait être la rencontre improbable entre Jul, Sch et Jimi Hendrix.

Ghoster raconte l’histoire d’un pauvre type qui se fait ignorer et finit par se poser des questions.

Ghoster est l’inventaire non-exhaustif des raisons pour lesquelles on décide de ne plus répondre à quelqu’un.

Ghoster est l’alternative parfaite au fait de traverser des tunnels pour écourter une conversation.

Le clip a été réalisé par les soins de l’artiste lui-même, dans un format adapté aux réseaux sociaux. Tout comme le rythme du single, le clip nous invite à la danse.

On y suit les complaintes en direct de ce personnage devenu fantôme de conversations, tantôt errant dans les rues de sa ville, tantôt parmi divers émojis qui défilent sur fond de paysages virtuels. Surgissent également du clip quelques références de popculture et d’Internet… ouvrez l’oeil !


Cover Fantôme 2.0
© Rémy Barbe

Fantôme 2.0 : Un hommage en musique

C’est le morceau qui retrace l’histoire qui a engendrée l’écriture de l’album Fantômes 2.0. La chanson aux influences synth-pop ou pop-funk raconte l’histoire vraie de la découverte de l’artiste d’un profil Facebook actif d’une personne de son entourage qui venait de dédéder. Ce monsieur, c’est Pascal, le bassiste du groupe de son oncle, mort brutalement un matin à l’âge de 53 ans.

Le thème du fantôme numérique s’est alors dessiné au fil de l’écriture pour donner un album entier. Lors du mixage, Karto di Cromo découvre des logiciels d’intelligence capables d’extraire une voix d’un accompagnement musical. Il recherche sur Internet des traces de Pascal et trouve une de ses chansons, dont une possède un thème étrangement proche de la sienne… comme si, avec les années, un fantôme était venu inspirer une nouvelle chanson pour finir de régler quelque chose avec les vivants. Karto di Cromo en extrait alors sa voix et l’intègre à la fin du titre Fantôme 2.0. Les deux voix s’unissent alors sur le mot « zéro », et l’espace d’un instant, la machine permet aux vivants et aux morts de cohabiter.

Quelques mois plus tard, l’artiste décide de partir filmer ses amis en train de découvrir cette chanson. Le clip est le témoignage de leur découverte et prolonge la question de départ que pose toute cette histoire : quelle place pour le deuil digital ?


Cover Droit à l’oubli
© Rémy Barbe

Droit à l’oubli : la vie en 2.0… et après ?

Droit à l’oubli est une chanson située entre le hip-hop et le R’n’b, qui utilise un rythme de baile funk de manière détournée avec un propos doux-amer et mélancolique. Le titre évoque avec poésie les thèmes de la fatigue et du deuil numériques à travers la figure emblématique du fantôme. Sa sortie correspond au jour d’Halloween ou de la Toussaint.

Les influences musicales vont de Travis Scott avec son titre latin K-POP en passant par Schoolboy Q pour l’atmosphère générale de son album Blue Lips pour aller vers des artistes plus crossover tel que Criolo pour son univers entre musique brésilienne et hip-hop.

Un superbe clip réalisé par Rémy Barbe vaut également le coup d’oeil. Référence explicite au film de David Lowery, A Ghost Story, le clip a une approche esthétique entre le film de genre et le documentaire.


KIT PRESSE



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